Lustron Corp. displays its prototype pre-fabricated, porcelain enamel house at 52nd Street and Sixth Avenue to the masses; meanwhile, the late Baroque era of the 52nd Street jazz scene plays on at night. William P. Gottlieb, photographer. (Summer 1948)
Bombardment of Taku forts, by the Allied fleets [Re-creation of the Boxer Rebellion battle that occurred June 17, 1900.]
Edison Manufacturing Co. SUMMARY From Edison films catalog: The scene opens by showing the battleships maneuvering for a position. They finally draw up in line of battle and commence firing on the shore batteries. Immense volumes of smoke arise from the fleet and from the distant shore. Shots are seen to fall thickly among the vessels and immense bodies of water are thrown up by the explosion of mines. A very exciting naval battle. 100 feet. $15.00.
NOTES Copyright: Thomas A. Edison (c. June 19, 1900.)
The only known photograph of President Abraham Lincoln at the dedication of the National Cemetery at Gettysburg, Pennsylvania, some three hours prior to the delivery Gettysburg Address. (November 19, 1863) (enlarged detail at bottom)
The executive in our governments is not the sole, it is scarcely the principal object of my jealousy. The tyranny of the legislatures is the most formidable dread at present, and will be for long years. That of the executive will come in its turn, but it will be at a remote period. I know there are some among us who would now establish a monarchy. But they are inconsiderable in number and weight of character. The rising race are all republicans. We were educated in royalism: no wonder if some of us retain that idolatry still. Our young people are educated in republicanism. An apostacy from that to royalism is unprecedented and impossible.
Thomas Jefferson to James Madison (March 15, 1789)
Reyner Banham Loves Los Angeles (1972) starring the eponymous author of Los Angeles: The Architecture of Four Ecologies, with an appearance by Ed Ruscha and featuring the "Baede-Kar" (a.k.a Baedekar guide) eight-track.
J’ai cru pouvoir briser la profondeur de l’immensité Par mon chagrin tout nu sans contact sans écho Je me suis étendu dans ma prison aux portes vierges Comme un mort raisonnable qui a su mourir Un mort non couronné sinon de son néant Je me suis étendu sur les vagues absurdes Du poison absorbé par amour de la cendre La solitude m’a semblé plus vive que le sang Je voulais désunir la vie Je voulais partager la mort avec la mort Rendre mon cœur au vide et le vide à la vie Tout effacer qu’il n’y ait rien ni vire ni buée Ni rien devant ni rien derrière rien entier J’avais éliminé le glaçon des mains jointes J’avais éliminé l’hivernale ossature Du voeu de vivre qui s’annule
Tu es venue le feu s'est alors ranimé L'ombre a cédé le froid d'en bas s'est étoilé Et la terre s'est recouverte De ta chair claire et je me suis senti léger Tu es venue la solitude était vaincue J'avais un guide sur la terre je savais Me diriger je me savais démesuré J'avançais je gagnais de l'espace et du temps J'allais vers toi j'allais sans fin vers la lumière La vie avait un corps l'espoir tendait sa voile Le sommeil ruisselait de rêves et la nuit Promettait à l'aurore des regards confiants Les rayons de tes bras entrouvraient le brouillard Ta bouche était mouillée des premières rosées Le repos ébloui remplaçait la fatigue Et j'adorais l'amour comme à mes premiers jours.
Les champs sont labourés les usines rayonnent Et le blé fait son nid dans une houle énorme La moisson la vendange ont des témoins sans nombre Rien n’est simple ni singulier La mer est dans les yeux du ciel ou de la nuit La forêt donne aux arbres la sécurité Et les murs des maisons ont une peau commune Et les routes toujours se croisent. Les hommes sont faits pour s’entendre Pour se comprendre pour s’aimer Ont des enfants qui deviendront pères des hommes Ont des enfants sans feu ni lieu Qui réinventeront les hommes Et la nature et leur patrie Celle de tous les hommes Celle de tous les temps.